Selon une décision récente de la Cour de cassation, un vendeur immobilier peut devoir payer pour un défaut même si ce défaut a bien été réparé avant la transaction.
Le taux de l’usure (le taux maximum légal que les établissements de crédit sont autorisés à pratiquer lorsqu’ils vous accordent un prêt) vient d’atteindre les 4 %.